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Par lapjesolifant le 7 Mai 2013 à 08:30
Ca y'est l'ARTYSHOW 2 a eu lieu. A 8h30 heure on était une cinquantaine de créateurs à investir le parc d'Ombrevalle à partir de 10h00 l'expo était ouvert aux public. Il faisait beau, il faisait chaud et il y avait une super ambiance. J'ai peu vendu, mais qu'importe; j'ai passé une bonne journée!!!
Allez, encore quelques photos en attendant l'ARTYSHOW 3!
J'ai profité de la journée pour démarrer un nouveau projet en crazy patch et par la même occasion faire une démonstration de la technique. Notre coin était vraiment très agréable en sentait bon les fleurs (euh...chuie désolée mais je connais pas le nom de ces fleurs ). A droit vous voyez notre voisin Jano Pontarollo dessinateur de son état et qui faisait colorier petits et grands en attendant de vendre.
Un grand merci aux organisateurs de cette super journée qui ont eu un boulot monstre et grace à qui la journée était un succès. Pour plus d'info sur l'association, c'est par là
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Par lapjesolifant le 15 Juin 2017 à 10:22
J’adore faire du crazy quilt (ou crazy patch), mais je connais relativement peu sur son histoire en cherchant sur internet je suis tombé sur un article de Betty Fikes Pillsbury, il est très intéressant et donc je vous en ai fait un petit résumé (en bas de cet article vous trouverez des liens vers la page facebook de Betty Fikes Pillsbury et le site « Le Carron Collection »
Les premiers européens qui arrivaient en Amérique devaient être le plus autonome possible ; il n’y avait pas des boutiques à tous les coins de rue. Aussi les femmes raccommodaient-elles habits et couvertures en découpant les bon morceaux dans les vieux vêtements (les meilleurs morceaux mais déjà très usés en général). Elles découpaient les endroits où le tissu était trop abimé et le remplaçaient par des bouts de tissu sauvés sur d’autres vieux vêtements. Au départ c’était donc par nécessité en pas du tout pour embellir. Le résultat était donc rarement beau. Les couvertures et habits étaient réparés jusqu’à ce qu’il n’y avait plus d’endroit où coudre du tissu.
Il n’y a pas de témoignages et images de cette époque.Ensuite on commençait à « organiser » un peu le travail, à faire un peu de « design ».On procédait de deux façons ; certaines cousaient ensembles des petites pièces de tissu comme un jigsaw puzzle, elles décidaient la taille du morceau de tissu et l’endroit où elle voulait l’insérer ou alors elles découpaient des carrés de tissu (des « blocs ») qu’elles couvraient de bouts de tissu et qu’elles assemblaient ensuite.
Souvent les quilteuses travaillaient deux quilts à la fois ; un avec les meilleurs morceaux et très méticuleusement fait et un autre avec le tissu qui restait après le découpage pour le premier quilt et qu’elle continuaient quand elles étaient trop fatiguées pour le première. Un quilt exposé constituait une grande fierté.
Petit à petit le crazy quilt devenait une forme d’art textile à part entière. Les femmes brodaient les coutures et embellissaient les pièces.
A la fin de la 19ième siècle les patrons étaient devenus très graphique, un mouvement naquit de retours vers l’ancienne forme plus « crazy ». Les quilt souvent étaient fabriqué en souvenir et avec des « souvenirs » (habits, accessoires….) d’une personne et brodé avec les noms et dates de naissance et mort des personnes concernées.
Le crazy quilt devenait de plus en plus populaireC’est à cette époque aussi qu’on utilisait pour la première fois le nom « crazy » pour exprimer le caractère hasardeux, à-symétrique.
Avec la révolution industrielle, les femmes riches avaient du temps pour ce loisir et avaient les moyens d’acheter des tissus et autres fourniture exprès pour ces quilt pour ne plus utiliser des tissus usés. Les Américaines étaient fortement influencé par le crazy quilt Japonais qui utilisait des formes beaucoup plus variées (rond, ovale …) et figuratives (oiseaux, papillons... )
Betty Fikes Pillsburry
On brodait coutures et pièce, cousait de perles, des rubans, on peignait sur les pièces de tissu et usait et abusait du langage des symboles.
Les bouts de tissu étaient cousus sur un support en mousseline ou flanelle et on ne matelassait pas.La variété des objets créés était énorme ; napperon, couverture pour piano, kimono, rangement mural, couverture pour fauteuil et canapé en bien plus encore.
A l’époque Victorienne les femmes avaient bien peu de libertés ; le crazy quilt les permettait de s’échapper.
Depuis 1920 le crazy quilt a perdu en popularité, mais les années 80/90 l’ont à nouveau mis sur l’avant-scène
Résumé de l’article de Betty Pillsburry et Rita Vainius sur le site : The Carron Collectionl
Hestia van der Meer
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Par lapjesolifant le 8 Février 2012 à 09:00
Ou comment devenir un egv (escargot grand vitesse). Quand je pars animer des ateliers il m'arrive de prendre le tgv. J'ai donc intérêt à voyager léger. Mais il faut quand même trimbaler un minimum de choses. Petit à peit, au bout de quelques mois d'expérience, j'ai trouvé ce qui me va le mieux.
Je me suis fait un grand sac de voyage pour le sac de couchage et le matelas autogonflant, qui ne pèsent pas grand chose et tout ce qui es lourd va dans la valise sur roulettes. Pour en cas où je ne saurais pas résister les tentations des magasins, j'ai fait une housse pour le sace de couchage assorti, que je peux accrocher au "charioté et ainsi libérer de la place dans le sac de voyage.
Seulement dans la mesure où le truc téléscopique de la valise commence déjà à fatiguer sérieusement (ben oui que voulez voius, la valise était bon marché, mais violette), mieux faut de pas en abuser.
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Par lapjesolifant le 26 Juin 2015 à 09:42
Ladylike....
C'était le maitre mot à la maison quand j'étais au lycée....il fallait être ladylike....eh ben, moi je ne suis pas ladylike; je n'aime pas porter des jupes et pas des robes non plus.
Mais avec l'age on devient plus indulgent et on veut bien faire l'effort de chercher le compromis. Ici donc mon compromis. Un pantalon pagode et une longue tunique. Ca fait robe, mais ce n'est pas robe
Ce n'est pas évident hein...
C'est moi ou c'est pas moi?
Moi c'est plutôt çachuie pô vraiment à l'aise.....
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Par lapjesolifant le 30 Septembre 2015 à 09:58
Vous connaissez ce sentiment que votre vie vous glisse entre les mains, que vous ne maitrisez plus rien, que vous êtes complétement dépendant du bon (et moins bon) vouloir des autres?
Vous connaissez ce sentiment? Puis on a plus qu'une envie: se replier sur soi, ne plus sortir de chez soi, fermer les portes, débrancher le téléphone.....
Allez, on ne se laisse pas faire....grosse balade à travers pré avec le chien. Et vous savez quoi?
Le soleil s'est levé malgré tout
L’arbre bien ancré dans le sol, une mince couche de terre sur les roches, torturé par le vent mais debout toujours, inondé par la lumière tendre du petit matin.
Alors, si le soleil se lève, moi aussi!!
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