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Ca y'est l'ARTYSHOW 2 a eu lieu. A 8h30 heure on était une cinquantaine de créateurs à investir le parc d'Ombrevalle à partir de 10h00 l'expo était ouvert aux public. Il faisait beau, il faisait chaud et il y avait une super ambiance. J'ai peu vendu, mais qu'importe; j'ai passé une bonne journée!!!
Allez, encore quelques photos en attendant l'ARTYSHOW 3!
J'ai profité de la journée pour démarrer un nouveau projet en crazy patch et par la même occasion faire une démonstration de la technique. Notre coin était vraiment très agréable en sentait bon les fleurs (euh...chuie désolée mais je connais pas le nom de ces fleurs ). A droit vous voyez notre voisin Jano Pontarollo dessinateur de son état et qui faisait colorier petits et grands en attendant de vendre.
Un grand merci aux organisateurs de cette super journée qui ont eu un boulot monstre et grace à qui la journée était un succès. Pour plus d'info sur l'association, c'est par là
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J’adore faire du crazy quilt (ou crazy patch), mais je connais relativement peu sur son histoire en cherchant sur internet je suis tombé sur un article de Betty Fikes Pillsbury, il est très intéressant et donc je vous en ai fait un petit résumé (en bas de cet article vous trouverez des liens vers la page facebook de Betty Fikes Pillsbury et le site « Le Carron Collection »
Les premiers européens qui arrivaient en Amérique devaient être le plus autonome possible ; il n’y avait pas des boutiques à tous les coins de rue. Aussi les femmes raccommodaient-elles habits et couvertures en découpant les bon morceaux dans les vieux vêtements (les meilleurs morceaux mais déjà très usés en général). Elles découpaient les endroits où le tissu était trop abimé et le remplaçaient par des bouts de tissu sauvés sur d’autres vieux vêtements. Au départ c’était donc par nécessité en pas du tout pour embellir. Le résultat était donc rarement beau. Les couvertures et habits étaient réparés jusqu’à ce qu’il n’y avait plus d’endroit où coudre du tissu.
Il n’y a pas de témoignages et images de cette époque.Ensuite on commençait à « organiser » un peu le travail, à faire un peu de « design ».On procédait de deux façons ; certaines cousaient ensembles des petites pièces de tissu comme un jigsaw puzzle, elles décidaient la taille du morceau de tissu et l’endroit où elle voulait l’insérer ou alors elles découpaient des carrés de tissu (des « blocs ») qu’elles couvraient de bouts de tissu et qu’elles assemblaient ensuite.
Souvent les quilteuses travaillaient deux quilts à la fois ; un avec les meilleurs morceaux et très méticuleusement fait et un autre avec le tissu qui restait après le découpage pour le premier quilt et qu’elle continuaient quand elles étaient trop fatiguées pour le première. Un quilt exposé constituait une grande fierté.
Petit à petit le crazy quilt devenait une forme d’art textile à part entière. Les femmes brodaient les coutures et embellissaient les pièces.
A la fin de la 19ième siècle les patrons étaient devenus très graphique, un mouvement naquit de retours vers l’ancienne forme plus « crazy ». Les quilt souvent étaient fabriqué en souvenir et avec des « souvenirs » (habits, accessoires….) d’une personne et brodé avec les noms et dates de naissance et mort des personnes concernées.
Le crazy quilt devenait de plus en plus populaireC’est à cette époque aussi qu’on utilisait pour la première fois le nom « crazy » pour exprimer le caractère hasardeux, à-symétrique.
Avec la révolution industrielle, les femmes riches avaient du temps pour ce loisir et avaient les moyens d’acheter des tissus et autres fourniture exprès pour ces quilt pour ne plus utiliser des tissus usés. Les Américaines étaient fortement influencé par le crazy quilt Japonais qui utilisait des formes beaucoup plus variées (rond, ovale …) et figuratives (oiseaux, papillons... )
Betty Fikes Pillsburry
On brodait coutures et pièce, cousait de perles, des rubans, on peignait sur les pièces de tissu et usait et abusait du langage des symboles.
Les bouts de tissu étaient cousus sur un support en mousseline ou flanelle et on ne matelassait pas.La variété des objets créés était énorme ; napperon, couverture pour piano, kimono, rangement mural, couverture pour fauteuil et canapé en bien plus encore.
A l’époque Victorienne les femmes avaient bien peu de libertés ; le crazy quilt les permettait de s’échapper.
Depuis 1920 le crazy quilt a perdu en popularité, mais les années 80/90 l’ont à nouveau mis sur l’avant-scène
Résumé de l’article de Betty Pillsburry et Rita Vainius sur le site : The Carron Collectionl
Hestia van der Meer
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Eh oui, on peut faire des cordelettes pour les différentes créations avec sa machine à coudre. Il y a plusieurs façons de faire; ici je vous explique la façon qui me convient le mieux à moi.
Pour commencer on prépare la machine à coudre: le même fil (je prends du fil à broder pour machine) en haut et sur la canette.
Je règle ma machine sur une longueur de point de zigzag assez importante pour cette première phase. Les fils passeront plus facilement et la cordelette prendra déjà sa forme et sera plus facilement à manipuler par la suite. Un pied spéciale avec une encoche dessous pour faire passer les fils est souhaitable.
Et voilà, les choses sérieuses peuvent commencer!
J'ai pris 6 fils à tricoter (aiguille 2.5 à 3) d'un mètre envirron, Pensez à bien les bien placer dans l'encoche en les entortillant pour former une cordelette. Guidez la cordelette avec les mains, tout en continuant à entortiller, les fils, pour qu'elle reste bien au milieu. La main gauche maintient juste la tension pour que la cordelette avance régulièrement, il ne faut surtout pas tirer parce que vous risquez de casser ou abimer l'aiguille. Si votre machine à la marche arrière au même endroit que la mienne, méfiez vous! Vous auriez tôt fait d'appuyer dessus une première fois puis une deuxième fois et sans vous en rendre compte vous l'auriez mis dans la marche arrière et ça pour avancer ce n'est pas le top.
Et voici la cordelette "préformée".On passe à la deuxième étappe:
Avec le même fil...mais on dimunue la longueur du point et on y va...on continue le zigzagage!
On change de couleur une première fois, puis une deuxième, éventulellement une troisième fois... Une autre couleur, une autre nuance, pensez aussi à utiliser du fil métallisé, ça donne un petit effet scintillant à votre cordelette. Pour la longueur de point lors de ces étappes je vous laisse choisir vous; plus court je ne vous le conseille pas (c'est plus dur et assez long), mais vous pouvez faire plus grand, vous pouvez aussi continuer avec cette longueur si cela vous convient. Si, à la fin, vous utilisez du fil métallisé je vous conseille de prendre une longueur de point plus importante pour que le brillant ne devient pas dominant.
Et voilà, votre cordelette est finie!! Et pour moi
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Ou comment devenir un egv (escargot grand vitesse). Quand je pars animer des ateliers il m'arrive de prendre le tgv. J'ai donc intérêt à voyager léger. Mais il faut quand même trimbaler un minimum de choses. Petit à peit, au bout de quelques mois d'expérience, j'ai trouvé ce qui me va le mieux.
Je me suis fait un grand sac de voyage pour le sac de couchage et le matelas autogonflant, qui ne pèsent pas grand chose et tout ce qui es lourd va dans la valise sur roulettes. Pour en cas où je ne saurais pas résister les tentations des magasins, j'ai fait une housse pour le sace de couchage assorti, que je peux accrocher au "charioté et ainsi libérer de la place dans le sac de voyage.
Seulement dans la mesure où le truc téléscopique de la valise commence déjà à fatiguer sérieusement (ben oui que voulez voius, la valise était bon marché, mais violette), mieux faut de pas en abuser.
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On entendait déjà beaucoup parler d'elle et ça y'est elle est là.....mon jardin est envahi par les papillons de la pyrale du buis.
Je n'ai pas de buis, mais est ce qu'elle s'attaque aussi à d'autres plantes? J'ai fait des recherches mais il semblerait que non. J'ai trouvé un bon article qui explique comment traiter contre les chenilles façon biologique. Ouf, c'est bien et efficace à ce qu'il paraît.
Le papillon est joli à voir, mais méfiez vous, on constate en France jusqu’à 3 générations par an!
Voici une photo d'un papillon dan mon sapin de noël (qui ne rentre plus dans ma maison depuis longtemps et fait au moins 5 m de haut)
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